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Qui a entendu parler de ce petit caillou perdu au milieu de l’Océan Indien ? Sa voisine, l’île Maurice, si populaire, lui fait de l’ombre. Mais cette petite île n’est pas appelée « la Cendrillon des Mascareignes » pour rien…

 

Les délices et turpitudes d’une arrivée à terre après de longs jours de mer

Après 14 jours de mer, on est toujours un peu excité lorsque l’on voit une terre apparaitre à l’horizon. Ces petites lumières qui dansent sur l’horizon (ou plutôt, c’est nous qui dansons) sont les promesses d’une civilisation quittée depuis une ou plusieurs semaines. Alors bien-sûr, comme pour tout, il y a les avantages et les inconvénients d’un retour « à la vie normale » (ou presque).

Mais les avantages sont de trouver des fruits et légumes frais, graal de la cuisinière d’un bateau au long cours. Et tout particulièrement de la salade, légume périssable par excellence, qui est donc au menu des jours suivant une arrivée, en manger à tous les repas ou presque, permettant de combler le manque… Que ne ferait-on pas pour une bonne petite salade verte, accompagnée de bon fromage français*, de bon pain** et de bon vin ? Le summum de la gastronomie lorsque l’on revient d’un long séjour en mer, qui plus est lorsqu’il se fait en terre étrangère. Ne jugez donc pas si durement ces femmes de bateau qui se jettent sur la première supérette venue ou qui s’extasient lorsqu’elles arrivent devant un marché bien fourni… ça leur passera (un peu). Mais l’alimentation étant une des premières sources de plaisir, ce point n’est pas à négliger pour la bonne forme de l’équipage (et en plus, cela fait briller le poil, signe de bonne santé).

 

*bon fromage français : pas ce cheddar standardisé que l’on trouve un peu partout dans l’Océan Indien. C’est tellement du fromage qu’il est vendu sous aluminium dans des boîtes en carton conservées à température ambiante !

**bon pain : les premiers jours, tout à notre redécouverte, on est beaucoup moins critique que les jours suivants. Ne manquerait-il pas un peu de sel dans la recette ?

 

Dans les inconvénients, il y a bien-sûr au premier plan les formalités d’entrée dans un pays. Autant elles peuvent se faire de manière très cordiale et rapidement, autant elles peuvent être un calvaire qui va durer plusieurs jours, notamment si vous n’êtes pas d’accord pour payer des « backchich » permettant de faire avancer la procédure plus vite, ou de payer un « agent » qui fera les démarches pour vous (ce qui revient au même, puisque l’argent ira globalement dans la poche des mêmes). Il est notamment préférable, si vous voyagez en bateau en Asie, d’avoir à bord une imprimante-scanner-photocopieuse (il existe des modèles relativement compacts) qui vous permet en un tournemain de photocopier les documents exigés une nième fois par les autorités, leur coupant ainsi l’herbe sous le pied (eux qui pensaient vous embêter en vous obligeant à aller dans une petite boutique faire des photocopies, cela vous prenant des heures et émoussant votre patience).

Il y a aussi tous les petits tracas liés à la vie terrienne comme les courses, les bouteilles de gaz à changer (en espérant avoir le bon raccord pour les relier à votre installation), essayer d’obtenir une connexion internet, se déplacer, etc… La moindre chose demande en général beaucoup de temps et fait passer le temps de l’escale à la vitesse de l’éclair. Les choses étant différentes lorsque vous êtes terrien (avec votre moyen de transport, votre maison où tout fonctionne facilement, et tout et tout), il est parfois difficile de comprendre que les voileux n’arrivent pas à faire autant de choses que vous.

Enfin, comme l’on est à terre et qu’il y a toujours quelque chose à faire, il est plus difficile de prendre des moments « à ne rien faire » sans trop culpabiliser. Au moins, être en mer a l’avantage de ralentir le rythme de vie, ce qui n’est pas plus mal !

Lever de soleil sur l'île au petit matin ; curiosité face à une nouvelle terre ; vue sur l'Anse aux Anglais ; coucher de soleil sur le quai ; le marché tant attendu
Lever de soleil sur l'île au petit matin ; curiosité face à une nouvelle terre ; vue sur l'Anse aux Anglais ; coucher de soleil sur le quai ; le marché tant attendu
Lever de soleil sur l'île au petit matin ; curiosité face à une nouvelle terre ; vue sur l'Anse aux Anglais ; coucher de soleil sur le quai ; le marché tant attendu
Lever de soleil sur l'île au petit matin ; curiosité face à une nouvelle terre ; vue sur l'Anse aux Anglais ; coucher de soleil sur le quai ; le marché tant attendu
Lever de soleil sur l'île au petit matin ; curiosité face à une nouvelle terre ; vue sur l'Anse aux Anglais ; coucher de soleil sur le quai ; le marché tant attendu

Lever de soleil sur l'île au petit matin ; curiosité face à une nouvelle terre ; vue sur l'Anse aux Anglais ; coucher de soleil sur le quai ; le marché tant attendu

Accueil Rodriguais

« Bienvenue dans notre pays ! »

Ces quelques mots, dits en français dans le texte, après une traversée océanique (et plusieurs années passées en Asie pour Anik et JB) font chaud au cœur et vous marquent. C’est ainsi la première phrase que nous entendrons des Rodriguais, à l’occasion des manœuvres faites pour l’arrivée du cargo ravitailleur* qui passe chaque semaine.

Et cette gentillesse, ainsi que cette ouverture aux étrangers, ne se démentira pas pendant tout notre séjour ici. Les gens sont souriants et ouverts. Combien de fois dans la rue quelqu’un qui me croise m’a demandé : « ça va ? » avec un grand sourire ? Alors c’est sûr, on peut dire que je suis une fille, avec un physique (ou au moins un visage) pas trop ingrat… Mais JB et Anik ont ressenti la même gentillesse de la part des habitants. Juste une ouverture et une envie de discuter, sans arrière-pensée. Et ça, ça fait du bien…

 

*cargo ravitailleur : le « Trochetia » effectue la liaison entre l’île Maurice et Rodrigues une fois par semaine environ, emportant quelques dizaines de passagers et des conteneurs de riz et farine principalement, ainsi que meubles, produits manufacturés et produits frais comme le fromage, la viande, etc… on trouve ainsi beaucoup de produits congelés en ce qui concerne la viande, venant d’Australie et d’Afrique du Sud, mais aussi d’Europe. Les produits sont donc un peu plus chers au vu du transport supplémentaire qu’il a fallu pour les acheminer jusqu’ici (par rapport aux prix pratiqués à l’île Maurice). Il faut aussi ne pas être trop pressés pour le courrier ou lorsque vous commandez quelque chose à l’étranger.

 

Sans le savoir, nous sommes arrivés quelques heures avant l’arrivée du cargo. Nous avons donc été réveillés à 6h du matin pour bouger de l’entrée du chenal menant au port. Une fois le bateau amarré, nous avons pu aller mouiller à quelques encablures de celui-ci, puis au quai une fois celui-ci parti le lendemain. Heureusement pour nous, le « Mauritius Pride » n’est plus en service, car auparavant c’était deux fois par semaine qu’il fallait bouger du quai… Tout un cirque !

Le Trochetia, cargo ravitailleur, auquel sont suspendus les Rodriguais pour la majorité des produits quotidiensLe Trochetia, cargo ravitailleur, auquel sont suspendus les Rodriguais pour la majorité des produits quotidiens

Le Trochetia, cargo ravitailleur, auquel sont suspendus les Rodriguais pour la majorité des produits quotidiens

Ayant envie de découvrir l’île et ses habitants, j’ai discuté avec un certain nombre d’entre eux. Il suffit pour cela d’être ouvert, d’avoir l’air joyeux et de commencer la discussion sur n’importe quel sujet, comme ce que vend la personne en question si c’est un commerçant. Et c’est parti ! J’ai ainsi fait la connaissance de vendeurs/vendeuses dans des boutiques, agriculteurs au marché, restaurateurs, jeune femme travaillant à l’alliance française, etc… C’est riche de ces différents points de vue que j’ai pu me faire une opinion un peu plus précise sur l’île.

Et quel plaisir de se balader dans les rues avec des gens le plus souvent souriants.

J’ai profité de ces 3 semaines sur l’île (nous étions censés ne rester qu’une semaine au départ, mais l’île nous a conquis) pour discuter avec les commerçants ou les gens que je croisais. C’est fou ce que les personnes répondent positivement quand vous arrivez avec la joie de vivre et le sourire ! Essayez de le faire chez vous et vous verrez, ça marche ! Si en plus vous vous intéressez un peu à la personne en posant des questions bienveillantes, ou sur la pluie et le beau temps, vous verrez comme les langues se délient… Bon, d’accord, il reste quelques ronchons… Mais qu’est-ce qui fait le succès d’un certain nombre de médecins d’origine africaine en France ? Tout simplement leur joie de vivre et leur abord sympathique et spontané.

Je me suis fait ainsi un certain nombre de connaissances parmi les marchands, des jeunes de mon âge ou des personnes plus âgées… Pour en citer la majorité (j’en oublie sûrement quelques-uns) : Ratesh (et ses amis Matthieu et Fabiano qui travaillent dans sa boutique), chez les parents de qui je suis allée dîner ainsi que Méga, qui m’a invité à une soirée avec ses amis dans son restaurant, le Marlin Bleu. Mais aussi Benjamin et Jackson au marché, Shalini et Sophie à Décoculture, Sylvia dans sa petite boutique, Sedek à Rotourco, Sheila à Coco Zone, Viciane à Ti Piment Rouge, Nushreen (cousine de Ratesh), Brian et Stéphane qui travaillent dans une boutique de vêtements, Marie Annique rencontrée dans le bus, Lizianne dans sa boutique de cartes postales, Marie à l’Alliance Française, Patricia et son mari Philippe, Katrina (non, pas le cyclone) retraitée suisse qui vit ici depuis plus de deux ans…

 

Bref, l’accueil des Rodriguais, tant vanté, n’a pas failli à sa réputation !

Mes amis rodriguais : Ratesh, Matthieu et Fabiano ; Sylvia ; Bryan et Stéphane ; Cherinen et Méga ; Viciane ; Benjamin... et j'en oublie !
Mes amis rodriguais : Ratesh, Matthieu et Fabiano ; Sylvia ; Bryan et Stéphane ; Cherinen et Méga ; Viciane ; Benjamin... et j'en oublie !
Mes amis rodriguais : Ratesh, Matthieu et Fabiano ; Sylvia ; Bryan et Stéphane ; Cherinen et Méga ; Viciane ; Benjamin... et j'en oublie !
Mes amis rodriguais : Ratesh, Matthieu et Fabiano ; Sylvia ; Bryan et Stéphane ; Cherinen et Méga ; Viciane ; Benjamin... et j'en oublie !
Mes amis rodriguais : Ratesh, Matthieu et Fabiano ; Sylvia ; Bryan et Stéphane ; Cherinen et Méga ; Viciane ; Benjamin... et j'en oublie !
Mes amis rodriguais : Ratesh, Matthieu et Fabiano ; Sylvia ; Bryan et Stéphane ; Cherinen et Méga ; Viciane ; Benjamin... et j'en oublie !

Mes amis rodriguais : Ratesh, Matthieu et Fabiano ; Sylvia ; Bryan et Stéphane ; Cherinen et Méga ; Viciane ; Benjamin... et j'en oublie !

Ambiance tropicale d’il y a 20 ans

Je peux difficilement comparer avec d’autres îles comme les Caraïbes car je n’y suis jamais allée. Mais JB et Anik, en arrivant sur l’île, l’ont tout de suite comparée aux Caraïbes d’il y a 20 ou 30 ans, internet en plus.

C’est vrai qu’il y a d’abord cette ambiance tropicale : les gens ne sont pas pressés, tout semble plus détendu. Comment vouloir aller vite alors que tout vous incline à prendre votre temps ?

Nous sommes arrivés en hiver et la chaleur était loin d’être insupportable ; plutôt douce même, car il faisait aux alentours de 25°C la journée. Il faisait même un peu frais le matin* quand il fallait aller chercher le pain pour le petit déjeuner (chaque matin, bien entendu, puisqu’on pouvait y être à pied en à peine 5 minutes). Mais qu’est-ce que cela doit être l’été quand une chaleur étouffante s’abat sur l’île. Cela doit être encore plus lent…

Il y a ensuite l’architecture, toute tropicale, faite de maison en bois et tôle, c’est-à-dire les cases créoles telles qu’on les imagine, ou celles en béton avec (ou sans) le confort moderne. Il y a aussi cette végétation qui a tendance à pousser un peu partout, à « dégouliner » à grand renfort de branches grimpantes, racines, etc… C’est aussi les essences tropicales comme les bougainvillées, les hibiscus, pour ne citer qu’eux, qui donnent cette ambiance franchement tropicale.

Enfin, ici comme sous les tropiques en général, le soleil se couche tôt : à 18h – 18h30 il fait nuit ! Et les magasins ferment à 16h – 16h30. Plus un chat dans les rues à partir de 17h ou presque ! Le seul avantage à cela est que vous pouvez commencer un apéro devant le soleil couchant et avoir terminé pour aller au lit à 21h !!!

 

*un peu frais le matin : Cela a vraiment commencé à dépayser Anik et JB, habitués aux chaleurs étouffantes de l’Asie du Sud Est depuis 4 ans. Anik avait froid et mettait un pull le matin (elle était atterrée de voir qu’un matin il ne faisait que 19°C dans le bateau !). Ils ont commencé à mettre une couette pour dormir (pendant la fin de la traversée), puis c’est moi qui ai « craqué » une semaine plus tard.

Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...
Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...

Apéro entre bateaux pour la Saint Jean Baptiste et la naissance de son petit-fils ; images en vrac...

Jeu de piste pour JB et Anik

A Cocos Keeling, JB avait organisé pour les 3 équipages français présents (Banik, Pélagos et Teva) un jeu de piste sur l’île pour nous dégourdir les jambes et nous la faire parcourir en tous sens. Cela m’avait marqué, d’autant que j’adore les jeux de piste et que j’ai appris que JB était « coutumier du fait ». Aussi, lors de la fin de la traversée, durant un de mes nombreux moments de désœuvrement et de vagabondage cérébral, j’ai imaginé un jeu de piste pour Anik et JB à travers la ville de Port Mathurin. Il commencerait sur le bateau, sous forme d’énigmes qui mèneraient au message suivant, puis à travers la ville de Port Mathurin si j’arrivais à me faire quelques complicités avec les commerçants. Une fois arrivée, la gentillesse des habitants et des commerçants m’a permis de lier rapidement connaissance avec certains d’entre eux et d’envisager la poursuite du jeu à travers la ville. J’ai donc été voir quelques commerçants et leur ai demandé la permission de les impliquer dans le jeu. Ils ont tous répondus par l’affirmative, amusés par le procédé.

Un matin, au petit déjeuner, j’ai donc lancé le jeu auprès d’Anik et JB en demandant négligemment s’ils avaient quelque chose de prévu aujourd’hui. Le petit déjeuner même pas encore terminé, ils ont bondi sur le jeu tels des chiots sur une balle. C’était assez amusant de les voir essayer de décrypter les énigmes pour trouver le prochain message caché dans le bateau. Heureusement que j’étais là pour éclairer leur lanterne sur une des énigmes, car leur esprit n’arrivait pas à suivre les méandres qu’avait emprunté le mien pour concevoir la devinette. Ils ont trouvé les 10 papiers en moins d’une heure, affutés comme des chiens de chasse. Je suis donc partie me balader dans l’île, confiante en mes fins limiers. La suite n’était pas difficile : les petits papiers les envoyaient de commerçant en commerçant, jusqu’à trouver le mot leur donnant rendez-vous dans un restaurant le soir.

Ils passaient ainsi par la boutique de mon ami Ratesh, où on leur donnait un petit sac vert, puis par le restaurant Ti Piment Rouge, où le patron les a mis à l’aise pour leur servir un café avec le petit mot conduisant à la suite (et comme ils ont fait ça juste après manger, cela ne pouvait pas mieux tomber). Une suite qui avait lieu au marché, où mon ami Benjamin leur donnait des mandarines (à mettre dans le petit sac vert) et le mot les envoyant au restaurant « Manzé la kaz » où la patronne, s’embrouillant un peu les pinceaux, leur a donné mon petit mot ainsi que le descriptif que je lui avais donné pour les reconnaître (ainsi que deux bières) ! Bref, ils ont ainsi eu le rendez-vous au restaurant Le Marlin Bleu pour le soir-même à 18h.

Ils ont beaucoup apprécié le jeu, en particulier JB qui avait toujours été à l’instigateur des jeux, mais n’en avait jamais bénéficié.

Conclusion : à refaire !

 

NB : le petit sac vert a par la suite trouvé son utilité : c’était le sac pour aller chercher le pain !

Délicieuse salade d'ourites (poulpes) au Marlin Bleu

Délicieuse salade d'ourites (poulpes) au Marlin Bleu

Une île aux mille facettes

n’est pas surnommée pour rien : « la Cendrillon des Mascareignes ». Cette petite île a tout pour plaire :

- un grand lagon entouré de quelques petites îles magnifiques

- une végétation verdoyante et luxuriante

- des plages sublimes

- de belles balades

- des habitants très accueillants.

C’est une île qui respire la douceur de vivre tropicale, avec le charme d’un endroit où le temps se serait arrêté.

Baladez-vous au cœur de l’île sur les sentiers dits « des chercheurs d’or »...

... essayez la tyrolienne qui vous fait ressembler à un paille en queue...

... promenez-vous sous les filaos dans le sud-est de l’île...

... profitez de ses sublimes plages...

... immergez-vous dans son lagon...

... découvrez ses espèces endémiques...

... caressez les tortues...

... tentez le kite-surf...

... vibrez lors d’une pêche au gros...

... goûtez la cuisine typique…

Et tellement plus !

 

Petite par la taille, avec un cœur « gros comme ça », cette île ne manquera pas de vous attraper dans ses filets. Sa grande sœur Maurice est certes magnifique, mais Rodrigues est une petite soeur bien cachée dans son ombre qu’il serait dommage de ne pas découvrir.

Les mille facettes de Rodrigues (et encore, j'ai plein de photos en réserve! )
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Tag(s) : #En voilier dans l'Océan Indien
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